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D-D est un projet qui à été soutenu par TRK asbl et qui à pour but de lutter contre le diabète infantile en Afrique mais aussi partout dans le monde avec d’autres organisations menant le même combat. D-D c’est aussi la prévention contre les douleurs neuropathique des diabétiques grâces notamment à la promotion et diffusion d’une nouvelle thérapie nommée « Anodyne THERAPY ». Action que nous menons et que nous avons appelée : « Don’t live another day in pain.… ». « Ne vivez pas un jour de plus dans la douleur »

Ne vivez plus un jour de plus dans la douleur !

Ne vivez plus un jour de plus dans la douleur !
ANODYNE THERAPY un traitement contre la douleur neuropathique chez les diabètiques.

vendredi 27 mai 2011

Le diabète en Belgique : quelques chiffres

610 000 Belges adultes sont atteints de diabète, soit environ 8 % de la population totale.
S’ajoutent à ceux-ci  494 500 citoyens  belges  (soit 6,5 % de la  population)  souffrant d’intolérance au glucose (aussi appelée pré-diabète).

Cette situation  va s’aggraver à l’avenir :  on estime qu’environ 749 600 Belges  (adultes) seront atteints de diabète en 2030.
5 500 Belges meurent du diabète chaque année, ce qui représente environ 15 personnes par jour. 
Le diabète de type 2,  qui représente  80 à  90 % des cas de diabètes en Belgique, diminue l'espérance de vie à 5 à 10 ans. 
2-4 Selon l’OMS, le diabète est la 4ème cause de mortalité en Europe occidentale . Ce nombre ne tient pas compte des décès survenant à la suite de complications liées au diabète. 
Le diabète est la  cause  principale  de  complications cardiovasculaires, rénales,  de  cécité et d’amputations.
 Environ 55 % des Belges atteints de  diabète meurent de maladie 
cardiovasculaire.
  Beaucoup d'autres souffrent de complications liées au diabète:
 plus de 30 % des  personnes ayant un diabète de type 2 présentent une  maladie coronarienne
 plus de 38 % des personnes ayant un diabète de type 2 souffrent de neuropathie
 35 % des personnes présentant un diabète de type 2  souffrent de  rétinopathie pouvant conduire à la cécité
 plus de 35% des personnes atteintes de diabète souffrant  de diabète souffrent  de micro/macro-albuminurie pouvant conduire à une néphropathie
 3,8 % des personnes présentant un diabète subissent une amputation.
Environ 50 % des personnes présentant un diabète ignorent  qu’elles sont atteintes et  ne sont par conséquent pas soignées. Cela signifie qu'une personne sur deux est diagnostiquée trop tard, ce qui a pour effet d’augmenter le nombre ainsi que le coût des complications à soigner.

Le diabète du type 2 est lié à plusieurs facteurs de risque  comme l'âge, l’origine ethnique, des facteurs génétiques, l'hypertension, une dyslipidémie, le surpoids mais  l’obésité a été identifiée comme le plus important facteur de risque du diabète de type 2.

Un Belge sur trois est en surpoids (30,3 %) et un  Belge sur dix est obèse (10,8 %).

Les générations plus jeunes  présentent  également  des problèmes de poids :  13 % de citoyens entre 19-21 ans sont en surpoids et 4,7 % sont obèses.

Il a été estimé qu’une diminution de l’obésité de 10 % diminuera le taux de prévalence du diabète de 30 % et la mortalité liée au diabète de 20 %.

Coûts des soins liés au diabète 
Le diabète engloutit entre 9 et 15 % du budget belge des soins de santé.

 Cela représente .
plus de 1,94 milliard d'EUR par an ou 220 000 EUR chaque heure.
Contrairement aux idées reçues, ce n'est pas le traitement de diabète qui coûte le plus mais bien le traitement de ses complications.  Autrement  dit,  plus  la personne attend  d’être traitée, plus cher cela coûtera. 
25 % de ces dépenses sont  consacrées au traitement du diabète alors que 75 % sont consacrés aux complications aiguës ; seulement 7 % sont  consacrés aux  médicaments antidiabétiques alors que 55 % sont liés aux frais d’hospitalisation.
Le coût du traitement pour un  citoyen belge présentant un diabète sans complications est d’environ 1 500 EUR par an, alors que le coût pour un patient présentant des complications 
peut atteindre 5 000 EUR par an.
 La prévention des complications liées au diabète en vaut donc la peine.  
Les coûts économiques du diabète comprennent également  la perte de productivité et les opportunités manquées en matière de développement économique. 
Prévention, dépistage et prise en charge
La plupart des cas de diabète de type 2 peuvent être évités par des changements au niveau de style de vie, en  préconisant un alimentaire saine et équilibrée, pauvre en graisses  ainsi que 30 minutes d’exercice physique modéré par jour.
Le dépistage du diabète et de l’intolérance au glucose est clairement efficace pour les personnes dont l’âge dépasse 40 ans.
13-15Une prise en charge rapide permet de réaliser des économies significatives dans les dépenses de soins médicaux à long terme. 
Un traitement efficace de diabète réduit de façon significative les complications  liées à la maladie comme un infarctus du myocarde, une attaque cérébrale ou une altération sérieuse de la vision. Un traitement efficace implique  de surveiller  de manière étroite le taux de glucose sanguin, la tension artérielle ainsi que les lipides sanguins. 

Source : IDF 2010 (Fédération internationale du Diabète)




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