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D-D est un projet qui à été soutenu par TRK asbl et qui à pour but de lutter contre le diabète infantile en Afrique mais aussi partout dans le monde avec d’autres organisations menant le même combat. D-D c’est aussi la prévention contre les douleurs neuropathique des diabétiques grâces notamment à la promotion et diffusion d’une nouvelle thérapie nommée « Anodyne THERAPY ». Action que nous menons et que nous avons appelée : « Don’t live another day in pain.… ». « Ne vivez pas un jour de plus dans la douleur »

Ne vivez plus un jour de plus dans la douleur !

Ne vivez plus un jour de plus dans la douleur !
ANODYNE THERAPY un traitement contre la douleur neuropathique chez les diabètiques.

mercredi 28 novembre 2012

Lutte contre le diabète: Le Lions club Douala Paradise passe à l’action

Lutte contre le diabète: Le Lions club Douala Paradise passe à l’action

Elle a organisé un diner débat sur  le diabète et les maladies cardiovasculaires ce 21 novembre 2012 au siège du Gicam à Bonanjo.
«On n’est pas diabétique parce qu’on consomme beaucoup de sucres. Mais, parce que l’organisme ne produit pas d’insuline ou parce que la quantité d’insulines produite par l’organisme est assez insuffisante  pour brûler l’excès de  glucoses ou de sucres que l’organisme contient. »...

samedi 4 août 2012

Le problème du diabète


L'épidémie de diabète mondiale prend des proportions pandémiques. On assiste actuellement à une explosion des coûts de contrôle et de traitement de la maladie et de ses complications, tandis que les pertes de productivité affectent l'économie mondiale. Les méthodes actuelles de surveillance n'aident pas les diabétiques à contrôler efficacement la maladie.

Carte mondiale du diabète



L'épidémie de diabète mondiale
- 300 millions de malades dans le monde. Ce chiffre devrait doubler d'ici 2030
- Coût mondial du diabète : 232 milliards de dollars
- 5ème cause majeure de décès aux États-Unis et 4ème cause de décès dans le monde

Complications liées au diabète

    Maladies cardiaques
    Cécité
    Insuffisance rénale
    Amputations
    Troubles nerveux

La glycation (réaction qui lie le sucre excédentaire aux protéines) est une cause majeure de complications à long terme du diabète. Il s'agit d'un indicateur du risque de développement de ces complications.

Surveillance du diabète
La surveillance du diabète vise à contrôler la glycation et à éviter les complications. Elle permet aux diabétiques et au personnel soignant d'établir un régime de traitement, de contrôler son efficacité et de l'ajuster selon les besoins pour un meilleur contrôle global de la glycémie.

Méthodes actuelles de surveillance du diabète :
- Visite médicale semestrielle
- Tests multiples de surveillance du diabète

    Glycémie - Jusqu'à 4 fois par jour

    Avantage minime pour les diabétiques de type 2 (95 % des sujets atteints)
    Cher et peu pratique (seuls 25 % des malades respectent la fréquence prescrite)
    Aucune mesure de la glycation des protéines
    Induit du stress chez les patients, avec un effet potentiellement négatif sur l'efficacité du traitement

    Hémoglobine glyquée (HbA1c) - Tous les 4 ou 6 mois

    Manque de précision du test pour les patients sous hémodialyse ou qui présentent des anomalies de l'hémoglobine
    Test effectué seulement 2 à 4 fois par an – Fréquence insuffisante pour dépister suffisamment tôt la progression des complications liées au diabète
    Communication insuffisante entre les docteurs et les patients – Le test est généralement effectué par un laboratoire externe puis le médecin reçoit les résultats ultérieurement

Les méthodes de surveillance actuelles du diabète ne répondent pas aux besoins des patients.
        Le concept actuel de traitement du diabète ne fonctionne pas –

vendredi 25 mai 2012

Comment vivre avec une maladie chronique ?


Diabète, asthme, fibromyalgie… Vivre au quotidien avec une maladie chronique est loin d’être facile.

D’après l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), on parle de « maladie chronique » dans le cas d’une affection de longue durée qui évolue avec le temps.
Il n’est pas toujours évident de reconnaître une personne atteinte par une maladie chronique. Pourtant, ce type de maladie est responsable de 17 millions de décès dans le monde chaque année1. En France, on considère que 15 millions de personnes (environ 20% de la population) seraient atteintes d’une maladie chronique2 contre 30% de la population au Canada3.

Plus ou moins grave et invalidante selon les cas, il peut s’agir de diabète, de cardiopathies, de cancer, d’AVC, d’hypertension artérielle, de polyarthrite, de sclérose en plaque, de la maladie de Crohn, d’Alzheimer ou de Parkinson, etc…

Accepter la maladie

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L’annonce d’une maladie chronique est bouleversante. Dans les cas où le patient ne présente pas d’antécédents familiaux et ne s’attend pas à ce type de diagnostic, elle peut l’être davantage.

Une phase de révolte et d’incompréhension fait souvent suite à l’annonce de la maladie et peut durer plusieurs mois. Certaines affections nécessitent la consultation d’un psychologue puisqu’il est essentiel que le patient accepte sa maladie. Ensuite, il s’agira d’apprendre à vivre avec elle. Cela sous-entend de changer son mode de vie : alimentation saine, nécessité de pratiquer une activité physique, prise de médicaments, etc…
Le médecin qui diagnostique la maladie chronique joue un rôle fondamental : il oriente le patient et lui présente des solutions tout en le soumettant au fait qu’il ne pourra pas guérir de sa maladie de façon définitive.

Le quotidien avec une maladie chronique

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Vivre au quotidien avec une maladie chronique est loin d’être évident. Les malades affirment souvent qu’ils apprennent à « vivre avec » leur pathologie et non, à « bien la vivre ».

Le développement personnel est essentiel pour pouvoir continuer à vivre le plus normalement possible. Le patient est actif et contribue à son traitement. Après le choc qui suit l’annonce de la maladie chronique, il est nécessaire d’acquérir des compétences afin de réorganiser sa vie avec la pathologie.

Il s’agit d’abord de comprendre sa maladie et de parvenir à en parler à son entourage. Ensuite, le patient doit apprendre à s’autogérer, en étant capable de se diagnostiquer et de se prendre en main en l’absence du soignant. Il sera souvent nécessaire pour le patient de s’organiser en fonction de sa maladie sans pour autant la laisser prendre le contrôle sur sa vie.

L'impact sur la vie sociale

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Au-delà de la douleur physique, les personnes atteintes de maladie chronique peuvent être aussi victimes de souffrance morale et sociale.

La plupart du temps, il s’agit d’une souffrance latente qui n’est pas toujours évidente aux yeux de la famille et des amis. Les malades sont amenés à trouver un sens à leur affection : on parle d’un réel enseignement puisqu’ils doivent apprendre à composer avec elle. Il faut admettre que l’on n’est pas en bonne santé mais continuer à vivre le plus normalement possible afin de ne pas altérer « son goût pour la vie ».
Au sein de la famille et des amis, il faudra « oser » montrer sa maladie et l’affirmer. L’entourage proche joue un rôle clef dans l’acceptation de la maladie et dans la façon dont le malade va se percevoir lui-même. Contrairement au cas d’une maladie aigüe, la famille n’est pas uniquement informée : elle doit participer au traitement de la maladie chronique.

L'impact sur la vie professionnelle

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Le milieu professionnel est souvent une source de tension supplémentaire pour les personnes atteintes d’une pathologique chronique…

La douleur, la fatigue ou la prise fréquente de médicaments peut être un facteur de gêne pour le patient qui refuse souvent d’être vu comme « malade ». En plus de devoir concilier vie professionnelle avec un traitement ou de la rééducation, le malade doit parfois subir des regards condescendants de la part de ses collègues et doit parfois composer avec une pression quotidienne venant de sa hiérarchie.
Dans tous les cas, il est conseillé d’avoir le plus de transparence possible : la communication sera décisive. Certaines entreprises pourront proposer des emplois à mi-temps ou adapteront le temps de travail et les fonctions du salarié, si sa maladie l’empêche d’effectuer certaines tâches (ex : porter des charges lourdes). Dans certains cas, l’arrêt maladie reste néanmoins la seule solution, ce qui forcera, une fois de plus, le malade à réorganiser sa vie.

L'impact sur la vie intime

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Une sexualité épanouie serait synonyme de bonne santé et assurerait une qualité de vie.

En cas de maladie chronique, les fonctions sexuelles ne sont pas altérées. Mais la douleur, l’état dépressif ou le découragement qui encadrent parfois la pathologie peuvent être à l’origine d’une perte de désir et de satisfaction sexuelle. La communication au sein du couple est primordiale : parler à son partenaire de ce que l’on ressent (douleur, dégoût de soi, etc…) est primordial pour éviter la frustration sexuelle. Il est conseillé d’avoir des rapports sexuels à un moment fixe de la journée quand les douleurs se sont apaisées et quand on se sent le plus désirable. La tendresse au sein du couple en dehors des relations sexuelles sera essentielle pour renouer avec une sexualité épanouie. La sexualité ne doit pas rimer avec « performance » mais avec découverte de soi, de l’autre et épanouissement mutuel.




lundi 21 mai 2012

Les cas d'hypertension et de diabète progressent dans le monde


Une personne sur trois est atteinte d'hypertension artérielle dans le monde, d'après le rapport annuel des statistiques sanitaires de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), présenté mercredi 16 mai. Ces données révèlent également que 10% des adultes souffrent de diabète dans le monde. Ces deux affections sont à l'origine de décès par accident vasculaire cérébral et cardiopathie, de maladies cardiovasculaires, de cécité et d'insuffisance rénale.
"Ce rapport est une nouvelle preuve de l'augmentation spectaculaire des affections qui déclenchent des cardiopathies et d'autres maladies chroniques, en particulier dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Dans certains pays africains, jusqu'à la moitié de la population adulte souffre d'hypertension", explique le Dr Chan, directrice générale de l'OMS.
Dans ce rapport, l'autorité sanitaire indique toutefois que la généralisation du diagnostic et du traitement a entraîné une baisse de la tension artérielle dans les pays à revenu élevé, alors qu'elle ne cesse d'augmenter sur le continent africain.
D'autres données présentées dans ce document montrent une chute de 47% du nombre de décès maternels dans le monde en vingt ans, passant de 545.000 en 1990 à moins de 290.000 en 2010.




lundi 14 mai 2012

Pour "avoir de bons pieds", protégez vos pieds


"Avoir bon pied" est une nécessité dans la vie quotidienne. La moindre blessure peut conduire à une infection grave. Lorsque l'on a un diabète déséquilibré et ancien, cela n'empêche pas d'avoir une attitude de prévention
La prévention est la mesure la plus efficace pour diminuer les complications du pied.
Cette prévention consiste à :
  • inspecter quotidiennement les pieds à la recherche de cors, corne, mycoses, crevasses (en vous aidant d'un miroir).
  • Les laver chaque jour à l'eau tiède et avec un savon non-agressif, puis bien les sécher, surtout entre et sous les orteils. 
  • Éviter les bains de pieds trop prolongés. 
    Ne pas utiliser d'eau trop chaude, de bouillotte ou de couverture chauffante. 
  • Hydrater la peau si elle est sèche (crème hydratante, pas de talc ou de poudre). 
  • Limer les ongles mais ne pas les couper. N'utilisez jamais d'instruments pointus ou coupants (risques de blessure). 
  • Achetez des chaussures suffisamment larges au niveau des orteils afin d'éviter les frottements. Évitez les talons hauts. 
  • Vérifiez avec la main l'état intérieur de vos chaussures avant de les enfiler 
  • Changez de chaussettes chaque jour, surtout si vous transpirez. 
  • Évitez de marcher pieds nus. 
Faites contrôler vos pieds régulièrement par un médecin ou un podologue (au moins une fois par an) ou à la moindre blessure.
La marche à pied, bénéfique pour votre traitement, stimulera votre circulation sanguine et vous aidera à maintenir votre poids.

Pour "avoir bon pied", protégez vos pieds

Source : Pieds en danger : Attitudes et soins préventifs - P. Y. TRAYNARD, A. BRAUN-MAUGER, H. SELMI, J. L. DUBOIS-RANDE
Mise à jour 30/03/2009

Diabète : mieux vaut prévenir qu’enrichir l’industrie pharmaceutique


Les députés européens ont voté aujourd’hui 14 mars à Strasbourg en faveur d’une stratégie européenne en vue de combattre le diabète. Le groupe des Verts s’est abstenu. Michèle Rivasi, députée européenne verte, explique pourquoi.

Michèle Rivasi : "Aujourd’hui, le diabète est l’une des maladies non transmissibles les plus répandues : elle toucherait plus de 32 millions de citoyens de l’Union, soit près de 10% de l’ensemble de la population. Chaque année, 325.000 décès sont imputables au diabète dans l’Union, soit un citoyen toutes les deux minutes.

Cependant, il y a moins de 6 mois, le Parlement a adopté une résolution très claire sur les maladies non-transmissibles, incluant le diabète. Il n’y avait donc aucune urgence à sortir une autre résolution favorisant une maladie particulière. Le nouveau texte qui vient d’ être voté a été préparé par la coalition européenne pour le diabète et par le groupe de travail de l’UE Diabète (2), qui sont tous deux largement, si pas totalement, financés par l’industrie pharmaceutique... Une fois de plus, les liens d’intérêts sont de mise.

C’est cette même industrie, lobby qui écrase tout sur son chemin, qui va bientôt proposer aux jeunes enfants des médicaments anti-cholésterol (statines) pour lutter contre le diabète. Ces médicaments, extrêmement onéreux et donc destinés à remplir les caisses des laboratoires et creuser le trou de la sécurité sociale, peuvent s’avérer dangereux pour de jeunes enfants. La prévention intelligente, comme l’incitation au sport, une meilleure hygiène de vie et l’interdiction des publicités sur les aliments néfastes, plutôt que la médication, doit primer. L’épidémie de diabète va s’accentuer, et les coûts qui vont avec également. Ces derniers représentent actuellement plus de 10%.des dépenses de santé dans la plupart des Etats membres (2100 euros par diabétique par an). Il faut donc absolument prévenir une augmentation de ces coûts.

Enfin, il convient également de s’intéresser à la responsabilité des substances chimiques, comme le Bisphénol A, qui a récemment été reconnue « diabétogène » (3). L’occasion de rappeler aux autorités sanitaires françaises d’être plus fermes auprès de la Commission européenne et de l’EFSA pour que l’interdiction se généralise à l’échelle européenne". 

(1) Résolution du Parlement européen sur la mise en œuvre d’une stratégie de l’Union européenne sur le diabète (2011/2911(RSP)) B7-0148/2012 Marisa Matias, Patrick Le Hyaric, Kartika Tamara Liotard, Nikolaos Chountis, Jirˇí Masˇtálka au nom du groupe GUE/NGL.
(2) Burson-Marsteller, une grande compagnie travaillant entre autre pour les industries pharmaceutiques, a également soutenu ce texte.
(3). Soriano S, Alonso-Magdalena P, Garcı´a-Are´valo M, Novials A, Muhammed SJ, et al. (2012) Rapid Insulinotropic Action of Low Doses of Bisphenol-A on Mouse and Human Islets of Langerhans : Role of Estrogen Receptor b. PLoS ONE 7(2) : e31109. doi:10.1371/journal.pone.0031109

Note
Pour mémoire, le diabète est une maladie chronique qui survient lorsque le pancréas ne produit pas assez d’insuline ou lorsque l’organisme n’est pas capable d’utiliser efficacement l’insuline qu’il produit. Il en résulte une concentration accrue de glucose dans le sang (hyperglycémie).