Qui sommes nous ?

Ma photo
Bruxelles, Belgium
D-D est un projet qui à été soutenu par TRK asbl et qui à pour but de lutter contre le diabète infantile en Afrique mais aussi partout dans le monde avec d’autres organisations menant le même combat. D-D c’est aussi la prévention contre les douleurs neuropathique des diabétiques grâces notamment à la promotion et diffusion d’une nouvelle thérapie nommée « Anodyne THERAPY ». Action que nous menons et que nous avons appelée : « Don’t live another day in pain.… ». « Ne vivez pas un jour de plus dans la douleur »

Ne vivez plus un jour de plus dans la douleur !

Ne vivez plus un jour de plus dans la douleur !
ANODYNE THERAPY un traitement contre la douleur neuropathique chez les diabètiques.

vendredi 27 avril 2012

Le sucre est-il dangereux pour la santé ?



Nous mangeons quotidiennement trop d’aliments riches en sucre, ce qui peut favoriser l’obésité et toutes les maladies qui en découlent. Comme les graisses et le sel, une alimentation équilibrée doit modérer les quantités de sucre qu’elle contient.

Mieux informer le consommateur
Depuis des années, Test-Achats bataille pour une alimentation plus saine, en analysant les produits et en mettant en garde contre le déséquilibre diététique que nombre d'entre eux représentent.
Et pour aider le consommateur, nous plaidons pour faire une plus grande transparence sur les étiquettes, que les informations à l’attention des consommateurs soient correctes et compréhensibles. En effet, comprendre les infos nutritionnelles s’avère souvent ardu. Nos articles reviennent régulièrement sur le décodage d’une étiquette.
Du sucre du matin au soir
Nous avons analysé la teneur en sucre d’une septantaine de produits et avons découvert qu’il y avait encore de nombreuses améliorations possibles sur le plan de la composition. Très peu de différences étaient à noter, par rapport à notre précédent test en 2006.
A titre d’exemple, nous avons imaginé un petit-déjeuner classique, qu'on peut penser équilibré. Hélas ! Il fournit déjà 65 g de sucres simples, et la journée ne fait que commencer. La quantité quotidienne recommandée est de 90 g (Repères Nutritionnels Journaliers, pour un adulte ayant besoin de 2000 kcal/jour).
Nos exigences
• Nous plaidons pour une approche globale de l’alimentation équilibrée : comme dans la lutte contre le tabac, mettre en œuvre des actions sur divers fronts. Taxer les sodas et la malbouffe en général ne peut être une solution à part entière. Il faut aussi agir sur les fabricants, sur le marketing et la publicité qui leurrent les consommateurs (et séduisent largement les jeunes et les enfants), etc. Et alterner la carotte et le bâton. Pourquoi ne pas diminuer la taxe sur les produits sains, tels que fruits et légumes pour favoriser leur consommation? Et poursuivre la prévention avec des campagnes d'éducation.
• Les fabricants doivent améliorer la composition de leurs produits. Notamment en limitant les sucres ajoutés qu’ils utilisent en quantité pour des raisons de goût et des raisons technologiques, pour donner une meilleure texture (onctuosité), pour allonger la conservation, pour empêcher la prolifération des bactéries, diminuer l’acidité, etc.
• L’information nutritionnelle sur l’étiquette doit être aussi complète que possible. Les valeurs nutritionnelles de type 2 (avec mention des teneurs en sucres, graisses saturées, fibres et sel) par 100g et par portion. De même, la mention des GDA (Repères nutritionnels journaliers) peut être une bonne source d’information pour le consommateur. Il est important que cette information nutritionnelle soit complète sur le devant de l’emballage, pour éviter la confusion, et que les portions prises en référence soient réalistes.
Les gouvernements sont appelés à réagir
L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et l’ONU (Organisation des Nations Unies) ont pris conscience du problème des mauvaises habitudes alimentaires dans le monde qui tue chaque année 3 millions de personnes.
Tout récemment, le rapporteur spécial de l’ONU sur le droit à l’alimentation, le Belge Olivier De Schutter a invité les gouvernements, jugés trop laxistes face à l’industrie agro-alimentaire, à prendre cinq mesures prioritaires: taxer les aliments préjudiciables à la santé; réglementer les produits riches en graisses saturées, en sel ou en sucre; limiter la publicité pour la malbouffe; réviser les subventions agricoles qui baissent artificiellement le prix de certaines matières premières qui composent la malbouffe et soutenir la production locale pour faciliter l’accès à des aliments sains, frais et nutritifs.
Faut-il taxer la malbouffe ?
Parmi ces mesures, la taxation des sodas et des "crasses" est au centre des débats.
Ainsi, des chercheurs californiens ont affirmé que l’excès de sucre, en particulier du fructose, serait aussi néfaste que l’abus d’alcool. Ils ont lancé la polémique en proposant d’encadrer la vente aux Etats-Unis des produits sucrés (boissons, friandises) au même niveau que la vente de tabac et d’alcool: par des taxes et l’interdiction de vente aux mineurs...
Sans aller jusque-là, en Europe, plusieurs pays (Danemark, Finlande, Hongrie, France) ont récemment introduit des taxes sur les aliments à teneur élevée en graisses, sucres ou sel. A titre d'exemple, au Portugal, les aliments sont classés en 3 catégories d'impôt: taux réduit pour les produits de base (6%), taux intermédiaire (13%) et taux normal (23%) pour toute une série de produits non indispensables et peu diététiques tels que snacks, alcool, plats préparés, sucre, les boissons soft, etc. En Belgique, le débat est ouvert.

Source : TEST ACHAT

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire